Catégorie Meilleur Court métrage
Les grands vainqueurs de cette année 2020 ne sont autres que :
Robert-Emmanuel Gaigeot – « L’Amorce » :
L’histoire se déroule de nos jours, mettant en scène Antoine, un jeune homme de 25 ans, ambitieux aux multiples talents, courant les castings en région parisienne.
Cliquer ici pour voir le court métrage
A propos de Robert-Emmanuel Gaigeot :
« Comédien, cascadeur. Je pratique le parkour, la boxe thaï et j’aime beaucoup la musique, le rap plus particulièrement. Je rappe depuis l’âge de mes 14 ans. En 2017 j’ai donc décidé d’intégrer une école de cascadeur. J’ai écrit le scénario de l’Amorce, une histoire reflétant la réalité de la vie de certains comédiens, avec en prime une fin qui donne envie de soulever des montagnes. »
Meilleur Scénario de long métrage
Christophe Lenoir – « Dark Lens » :
Laura parle à des agents du mossad, elle est filmée. Elle raconte son histoire concernant un phénomène étrange qui la lie à un appareil photo et à la mort de trois personnes. Voyageant entre deux mondes parallèles, un camp de concentration en Allemagne durant la Seconde Guerre Mondiale et aujourd’hui, Laura va tout faire pour retrouver son fils mystérieusement disparu…
A propos de Christophe Lenoir :
Il a réalisé son premier film court en 1999, « La danse du crabe », ensuite il produit, écrit et réalise de nombreux courts métrages et réalise son premier long métrage : « Cellule 66 ». Également romancier (« Les collines noires » en 2002, puis un roman – thriller en 2017 « Le cœur du diable), il travaille depuis 2018 sur ce nouveau projet, « Dark Lens », un thriller fantastique.
Meilleur Roman
Elisabeth Loesch – « Le trou noir » :
Elle a huit ans et deux tarentules qu’elle aime par-dessus tout. Ensemble, elles vont détruire le monde. Mais oui, elle ne plaisante pas. Tout d’abord, elle va tuer son père. Croyez-là, elle a de bonnes raisons…
A propos de Elisabeth Loesch :
Elisabeth Loesch est scénariste, réalisatrice de courts-métrages et romancière. Son court métrage sur la maladie d’Alzheimer, qui a pour acteur principal Didier Flamand, reste le film dont elle est le plus fière.
Les coups de coeur du jury
Gilles de Gruttola pour son scénario « Les dramatiques » :
Mary professeure d’art dramatique en mal de réussite et fan de films de kung-fu doit monter une pièce de théâtre inoubliable en moins de deux mois. Cet exploit devra être accompli avec des élèves souffrant de troubles du comportement entre nymphomanie et peur chronique du contact des autres. Confrontée à un Directeur du Conservatoire retors, elle va devoir composer avec un groupe sans cesse sur le point d’imploser. La tâche ne sera pas facile pour Mary qui, derrière sa personnalité extravertie cache des troubles aussi envahissants que ceux de ses étudiants.
A propos de Gilles de Gruttola :
Scénariste – amateur en voie de professionnalisation, producteur et scénariste de films courts primés.
« Avec en projet réaliser un long-métrage en 2022, un pilote de série en 2021 et une série sur les prisons. Après quoi nous débuterons la conquête du monde et de sa proche banlieue, Mars et Jupiter et plus si affinités. »
Patricia Kwende pour son scénario « Le crocodile albinos » :
Aikono est un petit village d’Afrique niché au pied d’une colline. Chamekh présente Philippe au chef comme envoyé par la communauté ecclésiastique pour observer les us et coutumes du village dans le but d’écrire un livre. Il y a une dizaine d’années, un voyageur albinos visiblement malade a été accueilli par la tribu. Puis, ce dernier est mort quelques heures après son arrivée, non sans transmettre sa maladie la PESTE au village. La mort de l’étranger albinos a été suivie très rapidement d’autres décès. La psychose s’est emparée des villageois et a entrainé la peur et le rejet des êtres à la peau blanche. Dakon tenant à maintenir de bonnes relations avec les frères de la communauté ecclésiastique qui lui fournissent les médicaments et divers produits de l’Occident use de son autorité de chef pour imposer la présence de Philippe dans le village…
A propos de Patricia Kwende :
Patricia Kwende est une scénariste réalisatrice d’origine Camerounaise. Habile de la plume, Patricia Kwende arrive au cinéma par l’écriture. En effet elle a été remarquée et primée dans plusieurs concours et festivals de scénariste avant de gagner des prix comme réalisatrices avec ses films court-métrage.
Frédérick Vin et Barbara Grau pour leur scénario « Celui qui danse » :
Tous les jours, Didier et Carole continuent de simuler l’harmonie familiale devant leur fille, avant de s’enfermer chacun dans une chambre. Tous les jours, Didier se démène pour remonter sa société et, deux fois par semaine, il prend son cours de danse. Il apprend les positions principales, comment se tenir sans montrer l’effort, comment bouger avec grâce… De son côté, Carole apprend par une voisine que Didier prend des cours de danse avec la femme qui y a initié leur fils Dylan. Carole l’a toujours tenue pour responsable du suicide de son fils, c’est elle qui lui a mis des rêves de danse en tête. Carole ne dit pas à Didier qu’elle sait, mais sa réaction intérieure provoque du changement…
A propos de Frédéric Vin et Barbara Grau :
Frédéric Vin est auteur-réalisateur et Barbara Grau est scénariste et comédienne.
Christine Lamoureux pour son roman « Transcanadien Intérieur » :
« Transcanadien », un pan de l’histoire du Canada, est le récit du voyage initiatique d’un frère et d’une sœur à bord de ce train, univers clos et dépourvu de toutes connections, qui traverse les paysages mythiques de Toronto à Vancouver pendant quatre jours. J’ai voulu offrir une parenthèse de légèreté, de bonheur, de beauté, de musique, d’amitié, d’histoire, d’espoir et de grâce, en réaction à la morosité ambiante et aux thèmes, traités dans les romans actuels, reflets d’une société anxiogène.
A propos de Christine Lamoureux :
En plus de sa vie professionnelle bien remplie (Attachée parlementaire, Chargée de mission, …) Christine Lamoureux est une écrivain. Elle a écrit « Lettre d’amour à mon chien » et « Transcanadien ».
Julian Luguet pour son roman « Un notre monde » :
La liberté est de pouvoir s’accomplir sans craindre une dégradation de sa condition. Dans cet esprit, il est expérimenté dans la ville de Basseterre un modèle de société radicalement différent, où les besoins essentiels des citoyens sont gratuits. L’autonomie de la ville repose sur la technologie et la solidarité humaine, servant un but philosophique : l’épanouissement de soi. Affranchis de la contrainte économique, les gens ont le temps de réfléchir à leurs aspirations profondes. La vie n’est plus subie, elle devient une aventure dans laquelle chacun a son rôle. S’il n’est plus nécessaire de travailler pour payer ses factures, il est naturel de se demander comment combler le vide, trouver sa voie, son utilité à la société. Delphine Anderhalt est l’instigatrice de ce projet utopique. Elle souhaite offrir une réponse au mal-être de son époque en faisant suivre le désir politique par celui des citoyens. Elle devra affronter les accusations de démagogie, et les menaces de ceux qui refusent le changement.
A propos de Julian Luguet :
Julian est « Auteur pour l’aventure, facteur pour les factures ».
« J’organise mon temps libre pour l’écriture et suis discipliné dans ses différentes étapes. Je souhaite être édité et partager mes romans. C’est pourquoi j’apprends et travaille. »