Destin, fatalité, bonne étoile, qui sait si un jour votre avenir devenait quelque chose auquel vous n’auriez jamais pensé ? Et si demain vous révéliez votre âme d’artiste ? De nombreux artistes sont passés de l’ombre à la lumière tardivement après un bouleversement, un coup de chance ou le simple hasard de la vie.
Le 15 juin 2018, les groupes audiovisuels français TF1, M6 et France Télévision annoncent leur collaboration dans la création d’une plateforme SVoD intitulée : Salto.
Inutile de vous présenter le géant américain, nul doute que vous le connaissez déjà. Dans le monde, Netflix c’est 183 millions d’abonnés et un chiffre d’affaires de 5,8 milliards de dollars au 1er trimestre 2020. Même si la concurrence est rude et qu’une réelle diversité existe sur le marché, en matière de SVoD (Service Video on Demand), Netflix s’impose largement. Mais au fond, qu’est-ce qui fait le succès de Netflix ? Et quelle part Netflix alloue-t-elle à la production cinématographique française ?
La crise du Covid19 est un véritable coup dur pour le secteur de la Culture et notamment pour le Cinéma. Annulés, reportés, les tournages ont repris au cours de ces dernières semaines. Conditions sanitaires strictes, tournages ralentis, référent Covid, faisons le point.
#BlackLivesMatter, comme si la réalité s’emparait de la fiction, pourtant, tout est bien réel. Quelle est la place du Cinéma dans cette histoire ? Et comment le paysage audiovisuel français s’accommode des injustices sociales et ethniques de nos jours ?
Après trois mois de confinement, privés de nos cinémas, spectacles vivants et concerts au point mort, culture et événements quasi à l’arrêt, musées fermés ainsi que tout le reste, le retour à la « normale » qui s’annonce enfin est pour nous une véritable délivrance ! Comme nous, vous vous demandez peut-être où en sont les festivals du 7ème Art ?
« La culture c’est ce qui demeure en l’homme quand il a tout perdu », paraphrasait l’ancienne directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova.
Une affirmation qui a pris tout son sens en période de confinement, car la privation de liberté, même consentie, revient à perdre l’essentiel. Et c’est bien la culture qui a constitué le refuge pour des millions d’individus et, en particulier, pour les plus de quarante ans.
En France comme aux USA, le cinéma occupe une place importante dans la vie des gens. Si les différences entre cinéma français et cinéma américain sont nombreuses, on remarque que certaines pratiques hollywoodiennes sont venues s’immiscer dans le cinéma français. C’est le cas des script-doctors.
Dans un courrier adressé à différentes organisations du cinéma, Maxime Saada, président du directoire de Canal+, a annoncé la fin des négociations entre Canal+ et le cinéma français. Une décision qui pourrait avoir de lourdes conséquences pour l’industrie du cinéma en France.
Le concept d’« exception culturelle » défendu par André Malraux, alors ministre de la Culture, avait pour but de protéger la culture française dans un contexte de mondialisation naissante. Le cinéma français est la figure de proue de cette politique puisque les institutions ont fait le nécessaire pour qu’il continue à fleurir face au cinéma hollywoodien.